La Ville de Montauban a officialisé le renouvellement de son partenariat avec Cezam, réseau national spécialisé dans la diffusion d’avantages culturels et de loisirs via les Comités sociaux et économiques (CSE). Ce dispositif, déjà en place depuis plusieurs années, permet aux salariés affiliés de bénéficier de réductions dans des établissements culturels locaux, tout en renforçant la visibilité de ces derniers.
Cezam et Montauban : un partenariat structurant
Adhérente de Cezam, la Municipalité confirme ainsi son soutien à un réseau qui facilite l’accès à la culture pour les salariés. La carte Cezam, distribuée par les CSE, COS et amicales, offre des tarifs préférentiels dans plus de 4 000 structures en France. À Montauban, plusieurs institutions culturelles sont intégrées au dispositif, dont :
- Le musée Ingres Bourdelle (réductions sur les entrées et visites guidées),
- Le muséum Victor-Brun (tarifs préférentiels),
- Le CIAP (visites « classiques » et « flash » à prix réduits),
- La Mémo (abonnement avantageux),
- Les salles de spectacle municipales (billets à tarifs réduits).
Cette collaboration permet aux établissements de figurer sur les supports de communication nationaux de Cezam, élargissant leur audience potentielle.
Des bénéfices réciproques pour salariés et institutions
Pour les détenteurs de la carte, l’intérêt est concret : des économies sur des activités culturelles variées, allant des expositions aux spectacles. Pour les structures partenaires, comme le souligne la Ville, cette visibilité supplémentaire contribue à augmenter leur fréquentation.
Exemple : Le musée Ingres Bourdelle, déjà fréquenté par près de 50 000 visiteurs annuels, pourrait toucher un public élargi grâce à cette exposition nationale.
Ce renouvellement s’inscrit dans la politique culturelle de Montauban, qui mise sur des partenariats pour démocratiser l’accès à l’art et au patrimoine.
Un levier pour la culture locale
Si l’impact économique direct reste à mesurer, ce partenariat renforcé avec Cezam souligne l’engagement de Montauban en faveur d’une culture inclusive. Il reflète également une volonté partagée entre acteurs publics et réseaux nationaux de rendre la culture plus accessible, sans négliger les retombées pour le tissu local.
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